OPÉRAS
OPÉRAS
FALSTAFF
À quatre-vingts ans, Giuseppe Verdi prend congé de la vie avec un opéra d’une jeunesse étonnante qui se termine par un pied-de-nez fugué qui nous dit : « Tout au monde est bouffonnerie. » L’excellent Boïto lui a mitonné l’un de ses meilleurs livrets d’après Shakespeare. La musique pétille de fantaisie et l’action se confond avec le chant : Verdi entre dans le XXe siècle.
IL BARBIERE DI SIVIGLIA
Chef-d’œuvre absolu du répertoire comique, Le Barbier de Séville a essuyé un fiasco retentissant à Rome lors de la création. Rossini avait eu « le tort » de reléguer dans l’ombre l’opéra de Paisiello, premier inspiré par la pièce de Beaumarchais.
I MASNADIERI
ERMIONE
DAS RHEINGOLD
DIALOGUES DES CARMELITES
LES NOCES DE FIGARO
L’œuvre est menée tambour battant et s’enrichit de péripéties qui servent à la perfection l’équilibre de l’ouvrage. Mais derrière l’humour et le piquant des situations, Mozart sonde les âmes et les cœurs et verse une indicible nostalgie sur ces jeux de l’amour et du hasard. Un opéra qui porte bien son nom de Folle journée, rythmé par la grâce, profond comme la vie, universel comme sait l’être Mozart.